A Paris et dans les principales agglomérations du pays, le leader de la location de courte durée fait grimper les prix et réduit le nombre de logements disponibles. En cause notamment : des habitations entièrement dédiées au Airbnb et détenues par une poignée de propriétaires.
C’est justifié. Le nombre de sans abri est de l’ordre de 3000 à Paris, et le nombre de mal logés sans doute bien plus élevé.
La stratégie d’optimisation des profits qui mène à convertir des logements à l’année en location dites touristiques contribu à cette crise.
Apparemment ça rapporte pas assez, y a 128000 logements vacants à Paris.