Parce que l’Église est bien évidemment une des institutions les plus rétrogrades du monde. Comme les islamistes, justement.

Il y a plusieurs affaires qui se sont totalement déballonnées : les accusations contre Thomas Guénolé, suivies de son exclusion, les accusations puis le retrait de Taha Bouhaf. Dans le cas présent ça a l’air un poil plus étayé, à suivre mais méfiance néanmoins.

Ben ouais, parce que des salariés payés normalement, ça n’est pas envisagé. L’esclavage comme seule perspective…

Voter pour “le moindre mal” ça reste voter pour le mal. C’est pourquoi je n’ai jamais fait et ne ferai jamais barrage. Je laisse ça aux castors.

Dans la mesure où c’est un cours, ça vaut le coup d’écouter. En résumé : sur les sujets politiques, Wikipedia est plein d’intox. Les médias mainstream sont pleins d’intox. Le “camp du bien” participe à la désinformation et aux théories du complot tout autant que “les fachos” et autres “trolls russes”. La liberté d’expression et d’information est, partant, très menacée.

C’est gravissime. Le modèle chinois va s’imposer à toute allure chez nous, vous verrez. Surtout avec des fascistes comme Macron aux manettes (oui, je considère que Macron est un pire fasciste que Le Pen ou qui vous voudrez : qui représente mieux que Macron la fusion de l’état et du grand Capital, caractéristique fondamentale du fascisme ? Personne).

J’ai peur que ça soit, long, très long, ces jeux de merde…

Il est certain que “tout le programme, rien que le programme” c’est ce qu’on dit quand on a une nette majorité, ce qui n’est pas du tout le cas.

D’un autre côté toute la gauche fait l’impasse sur le fait que les règles européennes et la mainmise de la BCE interdisent absolument toute politique progressiste, et que donc le programme du NFP dans le cadre de l’UE est un pur vœu pieux qui ne peut finir qu’en Tsipras (dans le meilleur des cas).

Sans blague? C’est une constance chez lui depuis des années. Emmanuel Todd annonçait le “Macrono-lepénisme” dès 2017.

Pas mal, sans surprise il me dit que je vote FI :) Dommage pour les traductions françaises un peu approximatives parfois (le verbe “subsidier” n’existe pas, on dit “subventionner”).

C’est à dire qu’ils sont à contre-courant total de l’ambiance pesante de désinformation généralisée, entre les macronistes et les fachos.

Le Decodex, pur organe de désinformation, retiré en catimini avant que ça ne se voie trop.

AH AH AH AH AH AH AH. Désolé c’est nerveux. L’organe officiel de la macronie, la Pravda française indépendante? Elle est bien bonne.

Ben non, les blaireaux sont massacrés absolument sans raison aucune.

Très bon!

Voyons, un mec de droite qui a soutenu Sarkozy puis pensé être candidat pour “Alternative libérale”, un mec qui a été conseiller du dictateur géorgien Saakachvili et marié à la ministre de l’intérieur du dit dictateur qui a torturé des gens en prison, un mec dont la femme géorgienne a ensuite pris la nationalité ukrainienne pour entrer dans le gouvernement Iatseniouk à côté de ministres fascistes du Pravi Sektor, un mec qui est de toute évidence un agent de la CIA pur sucre… C’est quand même bizarre qu’on ne l’apprécie pas!

Oui, parce qu’on peut très bien dire “on y va” à un groupe dans le sens non pas de “allons-y” mais “allez-y”. L’utilisation de “on” comme neutre est toujours très fréquente.

Pas du tout, “on” n’a pas le même sens originellement, c’est un pronom neutre qui au départ se dit plutôt “l’on” et qui dérive de “l’homme”, ça signifie “des gens”, “quelqu’un”.

Le passage d’une langue avec beaucoup de formes pour les mots à une langue avec peu de formes (comme l’Anglais) a un nom en linguistique mais je ne m’en souviens plus :)

Ça dépend, j’ai l’impression qu’en Afrique francophone la première personne du pluriel est encore assez utilisée (ça dépend sûrement des pays). La transition existe depuis longtemps, par exemple “On n’est pas là pour se faire engueuler” (1954) : “Portez-vous bien mais nous on s’barre…” Dans les mémoires de Vidocq que j’ai lu récemment il me semble qu’il met aussi cette forme dans la bouche de quelques personnages qui parlent un argot quasi indéchiffrable.

Le remplacement du “nous” par “on” et la simplification de la conjugaison/prononciation des verbes correspond à une évolution de fond de la langue en se rapprochant de l’anglais. Les gens accordent de moins en moins les adjectifs également à l’oral.

Linguisticae avait parlé du sujet il y a quelques années.